Un ERP en mode Cloud, une évidence pour André Laurent SAS

Basée à Saint-Etienne, la société André Laurent est experte dans la boulonnerie spéciale sur-mesure et sur plan pour différents secteurs comme le nucléaire, le domaine pétrolier, l’aéronautique, les moteurs marins, l’hydroélectrique… Ses 3 principaux métiers s’orientent autour du forgeage à chaud, usinage, fraisage, rectification et roulage qui permet d’effectuer le filetage par écrasement de la matière. Avec 15 millions de chiffre d’affaires et 100 collaborateurs, André Laurent réalise aujourd’hui avec fierté 60% de son activité à l’international.

Un ERP pour moderniser le système d’information

Consciente de la nécessité d’accompagner son développement, l’entreprise s’équipe d’un ERP en 2004. Cependant, l’outil étant vieillissant et n’étant plus maintenu, André Laurent profite d’un programme régional pour changer d’outil fin 2021.

« Sylob correspondait bien à notre entreprise et à son fonctionnement. L’outil est facile d’accès, évolutif et bien structuré. Il possède un cadre, tout en offrant une latitude d’adaptation qui est très vaste. » explique Jean-Jacques Laurent, Président d’André Laurent

Le démarrage débute avec la Finance en juin 2023, le reste des fonctionnalités a suivi en septembre 2023. « Notre bilan s’arrête au 31 août. Nous voulions donc démarrer notre prochain exercice avec l’outil. Il y a eu quelques flottements les premières semaines liés au changement d’habitude. Même si nos collaborateurs avaient conscience du besoin de changement, une période d’adaptation est toujours nécessaire. La méthodologie et les échanges réguliers nous ont permis d’ajuster le planning et d’impliquer nos collaborateurs dans une période de charge importante. Grâce à l’accompagnement de Sylob et au travail de nos équipes, le système a été totalement opérationnel en moins de 4 mois. Je ne sais pas si cela est exceptionnel, mais nous sommes ravis de cette performance. J’aime utiliser cette image : nous sommes passés d’une 2 chevaux à une Ferrari. » ajoute Jean-Jacques Laurent.

Accompagner la croissance d’André Laurent

L’entreprise s’est fixé un objectif ambitieux : une croissance de 20 à 25% de son chiffre d’affaires avec un effectif administratif constant. Et l’ERP doit largement y contribuer. Les premiers retours sur l’utilisation de l’outil sont positifs et se sont rapidement fait sentir « Après quelques mois d’utilisation, je suis pleinement rassuré sur les capacités de l’ERP. L’intégralité de notre flux est aujourd’hui informatisée dans le système dans une logique de passer d’un flux poussé à un flux tiré. Nous avons beaucoup plus d’informations utiles pour nous et nos clients sur l’ensemble de nos commandes et de nos approvisionnements, améliorant l’échange de données avec nos clients, et ce n’était pas le cas au préalable. Le suivi de notre performance et de la rentabilité de chaque produit sera donc bien meilleur à terme. Les données sont bien plus tangibles pour nous permettre de maîtriser le calcul des coûts de l’entreprise et de notre rentabilité. »

Le choix du Cloud

Le Cloud s’est naturellement imposé chez André Laurent. Jean-Jacques Laurent explique : « Le Cloud est en premier lieu un choix financier et comptable car l’investissement est lissé sur plusieurs années. Il nous garantit également de disposer des dernières versions de l’outil, ce qui est synonyme de performance. Ensuite, le Cloud apporte de la souplesse. Notre croissance va probablement nous conduire à augmenter nos effectifs dans l’atelier. L’abonnement nous permet d’adapter l’accès à l’ERP simplement en fonction de nos ressources. Le dernier argument concerne la sécurité avec la régularité et la multiplicité des sauvegardes. Le Cloud, c’est l’avenir et c’est une évidence. »

Et pour la suite

« Aujourd’hui, nous avons choisi d’avoir un suivi régulier avec un consultant qui intervient une fois par mois. Nous sommes ainsi « obligés » de travailler sur l’optimisation du système. Nous sommes conscients que nous n’utilisons actuellement qu’une petite partie de l’outil et que sa puissance est phénoménale. Il y a donc encore beaucoup de choses à mettre en place » conclut Jean-Jacques Laurent